En plein centre-ville de Nantes, on trouve une « île » et un « phare »… sans eau autour. L’île Feydeau et ses immeubles immaculés construits au XVIIIe siècle, notamment grâce à l’activité économique liée à la traite négrière. Le comblement entamé dans les années 1930 chassera la Loire mais laissera les lotissements sur pilotis inclinés par des terrains instables. En arrière-plan, la Tour Bretagne et son architecture controversée qui dominent Nantes tel un phare depuis 1967. Voyage photographique.
Les lieux les plus connus de Vigneux-de-Bretagne (Loire-Atlantique) sont l’église Saint-Martin avec en contre-bas la mairie, au bord de l’étang du Choizeau, et un peu plus loin le Grand Calvaire. Un vrai village de carte postale. Mais il y a aussi sur cette commune des lieux plus secrets et interdits, abrités des regards indiscrets par la végétation. Exploration.
C’est un quartier central de Nantes qui a plusieurs noms : La Madeleine, Champ-de-Mars, Baco-LU, Les Olivettes. Un carré bien délimité, où ont longtemps cohabité industrie (usines Lefèvre-Utile), marché de gros et artisanat. Pour répondre au déclin de ces lieux populaires, un grand réaménagement a été lancé dans les années 1980. Visite photographique entre futur et passé.
C’est une rencontre surprenante. Le Sillon de Bretagne et ses 123 mètres, antenne comprise, qui s’élèvent vers un ciel bruineux à Saint-Herblain (Loire-Atlantique). Construit dans les années 1970, la deuxième plus grande tour habitée de France (34e, toutes catégories confondues), accueille près de 3 600 personnes. Visite guidée et mouvementée.
Une commune de 5 722 habitants (en 2014), Vigneux-de-Bretagne, mais deux rues commerçantes, deux églises, deux bourgs : Vigneux donc, et La Pâquelais. Exploration de ce dernier en quatre lieux et huit photos.
Le Lieu Unique (LU), à Nantes, transformé en champ de bataille… dansant, 48 heures durant. Pour sa treizième édition, la Battle Opsession du festival Hip Opsession affichait complet : 6 000 spectateurs et 200 bboys et bgirls (« danseur-s-es ») sur deux jours, les 17 et 18 février. L’occasion de faire le portrait de quatre d’entre eux, de la Bretagne à l’Ukraine en passant par l’Occitanie.