Côté pile, un impressionnant trompe-l’œil, signé de l’artiste-architecte nantais Tangui Robert. Côté face, un long chantier de rénovation, amorcé en 2015, sous l’impulsion de l’association Renaissance du Haut-Gesvres et avec le soutien financiers des collectivités du coin. Le château du Haut-Gesvres, construit en 1837 sur le bourg de Treillières, se réveille après quasiment 40 ans d’abandon. De quoi poser de nombreuses questions à Philippe Le Cruguel, nouveau président de l’association.
Construit en 1837 par une famille d’armateurs nantais, le château du Haut-Gesvres, à Treillières, fait l’objet d’importants travaux de rénovation. Les élèves de la classe de CE1-CM1 de l’école Joseph Fraud l’ont ausculté en images. Ils racontent les stigmates de cette propriété bourgeoise abandonnée puis squattée, explorent les traces de vie et la poésie qui, parfois, s’en dégage.